Troubles digestifs et intolérances alimentaires
Les troubles digestifs
Les troubles digestifs se caractérisent par des nausées, des vomissements, des ballonnements, constipation, diarrhées, brûlures d'estomac... qui peuvent être causés par des intolérances alimentaires, des parasites intestinaux, une candidose...
La déprogrammation des intolérances alimentaires va permettre à l’intestin de se régénérer sainement.
La constipation est un des troubles digestifs les plus répandus.
Plus d’une personne sur cinq souffre de constipation, et plus particulièrement une femme sur deux. Il y a souvent une prédisposition héréditaire ou des facteurs psychologiques, mais la cause la plus souvent constatée est un manque d’assimilation du magnésium dû à des intolérances alimentaires qui affaiblissent les intestins.
Certains aliments ne conviennent pas à notre flore intestinale et ralentissent le transit.
La Méthode JMV® permet de tester et supprimer les intolérances alimentaires qui nuisent à l’organisme pour retrouver un transit sain.
Les intolérances alimentaires
Les intolérances alimentaires sont à l'origine de nombreuses maladies physiques et psychosomatiques.
Les plus connues sont l’intolérance au gluten (cœliaque) et l’intolérance au lactose mais il existe de nombreuses autres intolérances (amidon de riz, oeuf, sulfites,…). Elles provoquent une inflammation de l'intestin, qui créé une porosité intestinale qui laissera passer des éléments indésirables dans le sang.
Beaucoup de maladies sont en lien avec une ou plusieurs intolérances alimentaires insoupçonnées ou aux produits qu’ils contiennent (colorants, engrais, pesticides…).
De plus en plus de médecins pensent qu’une mauvaise alimentation est une cause essentielle de maladie.
Déprogrammer les intolérances alimentaires est une clé essentielle de notre santé, car c’est un phénomène insidieux.
Contrairement aux allergies alimentaires, souvent violentes et qui se déclenchent rapidement après l’absorption, les intolérances alimentaires passent souvent inaperçues car les symptômes se manifestent « à retardement ».
Une intolérance à un aliment ou à une substance n’est pas forcément liée à un aliment que l’on n’aime pas ou que l’on ne digère pas, mais quelque chose qui affaiblit notre organisme (discordance).
Par exemple :
- la discordance ou intolérance au sucre peut provoquer: boulimie, diabète, dépression, angoisse, nervosité, manque de confiance en soi, instabilité, irritabilité, coup de pompe, moral en dents de scie, alcoolisme…
- La discordance ou intolérance au sel peut provoquer : hypotension, hypertension, migraine, rétention d’eau, œdème, culpabilité, sabotage, autodestruction…
- La discordance ou intolérance aux vitamines B peut provoquer : dépression, hypersensibilité, agoraphobie, vertiges…
- La discordance ou intolérance aux produits laitiers peut provoquer : bronchites, otites, angines à répétitions, diarrhée, tendinites chroniques, rhumatismes, lombalgies, encoprésie, manque de concentration…
- La discordance ou intolérance au magnésium : spasmophilie, constipation, insomnie, crampes, colites…
La combinaison de plusieurs intolérances ou discordances, peut provoquer des maladies comme la maladie de Crohn, fibromyalgie, polyarthrite rhumatoïde, mucoviscidose, déséquilibre du système nerveux, déficience du système immunitaire, hyperactivité, candida albican…
Les intolérances et discordances alimentaires provoquent des perturbations hormonales qui entraînent des déséquilibres physiologiques et psychologiques (troubles de l’humeur, frustrations, bipolarité, bouffées de chaleur, cellulite, anxiété, instabilité…).
Même si nous avons l’impression qu’un aliment nous fait du bien, parce que sur le moment il nous procure une sensation de bien-être, il peut très bien favoriser des malaises ou des maladies sur le long terme.
L'intestin, deuxième cerveau
Nos intestins digèrent, transforment, assimilent, éliminent tout ce que nous mangeons. C'est là que sont nos défenses immunitaires et que sont fabriqués les neurotransmetteurs (dopamine, sérotonine....).
Quand l’intestin va tout va !
Par exemple : les boulimiques se sentent mieux lorsqu’ils mangent du sucre, mais cela ne dure pas, ils retombent rapidement et sont à nouveau attirés par le sucre.
Ceci tout simplement parce qu’ils ne transforment pas correctement le sucre sous forme de glucose dans le foie, et sont par conséquent vite en manque. On connait les effets secondaires de l’excès de sucre (surpoids, diabète…) et pourtant ces personnes ont une envie irrépressible de sucré.